À notre époque, le respect de la chaîne du froid est capital. On ne compte plus les secteurs d’activité qui doivent composer avec cette contrainte. Si depuis de nombreuses années, les professionnels ont trouvé des solutions innovantes pour optimiser cette chaîne du froid, il reste tout de même des axes de développement. On pense notamment au cas précis de la maintenance. Évidemment, le technicien frigoriste s’impose rapidement comme la meilleure alternative. Mais quelles sont les démarches pour se professionnaliser. Zoom sur un métier qui a la cote dans l’Hexagone.
Les conditions d’admission
Pour devenir monteur réparateur frigoriste, il faut être âgé de 15 à 30 ans. Si les plus âgés peuvent aussi concourir pour ce type de formation, le résultat n’est pas forcément au rendez-vous. S’il est nécessaire d’avoir certaines bases en électromécanique, c’est surtout l’entretien collectif qui fera pencher la balance. Enfin, la signature du contrat d’apprentissage bouclera votre inscription. Important à savoir, les personnes en situation de handicap peuvent participer à la formation. Pour plus d’informations, on vous conseille de voir le site web d’un centre de formation agréé.
Vérifier le taux de réussite
Si cela peut sembler évident, il est préférable de le préciser avant que vous ne débutiez vos recherches. Pour mettre toutes les chances avec vous, il est capital de sélectionner un centre de formation certifié et reconnu. Afin d’éviter les mauvaises surprises, on attire votre attention sur l’intérêt du taux de réussite. Cet indicateur est performant pour jauger la fiabilité d’un établissement. On est jamais trop prudent quand il s’agit de son avenir professionnel. En dépit de certains préjugés, le coût de ce genre de formation n’a rien d’exorbitant. Il suffit de se pencher les prix pratiqués pour comprendre que cette formation est gratuite et rémunérée. Une sorte de contrat gagnant-gagnant qui n’a pas fini de faire parler de lui.